Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle au Québec a reculé de plus de 30 % au cours du mois dernier, dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 1 712 habitations ont été mises en chantier en janvier 2012, comparativement à 2 516 un an auparavant. De plus, le niveau désaisonnalisé annualisé de ce même mois (28 200) représente un régime considérablement plus faible que celui du mois de décembre (43 000).
Le déclin de la construction résidentielle au mois dernier est attribuable tant au segment des maisons individuelles qu’à celui des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements).
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 20 % comparativement au mois de janvier de 2011. Le niveau désaisonnalisé annualisé de janvier (9 700) est également inférieur à son rythme de décembre (10 900). À l’exception des régions de Sherbrooke et de Trois-Rivières, toutes les régions métropolitaines de recensement (RMR) ont accusé des pertes. Les résultats étaient mitigés dans les grandes agglomérations de recensement (AR).
«Un certain relâchement du marché de la revente en 2011 ainsi que la popularité des copropriétés durant cette même période ont contribué à ce résultat », explique Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Dans la catégorie des logements collectifs, une baisse notable (-35 %) a été enregistrée au mois de janvier dernier. De plus, le niveau désaisonnalisé annualisé de janvier (18 500) est significativement inférieur à celui de décembre (32 100). Sur le plan régional, le portrait est semblable à celui des maisons individuelles : des baisses notables dans les RMR de Montréal, de Gatineau, de Québec et de Saguenay. Par ailleurs, le relevé de janvier indique que le recul est attribuable aux chantiers visant la copropriété et le marché locatif. « Bien qu’une certaine reprise de vitesse est envisageable, le rythme prévu pour 2012 sera bien inférieur à ce qu’il a été en 2011 », affirme M. Hughes.
Le déclin de la construction résidentielle au mois dernier est attribuable tant au segment des maisons individuelles qu’à celui des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements).
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 20 % comparativement au mois de janvier de 2011. Le niveau désaisonnalisé annualisé de janvier (9 700) est également inférieur à son rythme de décembre (10 900). À l’exception des régions de Sherbrooke et de Trois-Rivières, toutes les régions métropolitaines de recensement (RMR) ont accusé des pertes. Les résultats étaient mitigés dans les grandes agglomérations de recensement (AR).
«Un certain relâchement du marché de la revente en 2011 ainsi que la popularité des copropriétés durant cette même période ont contribué à ce résultat », explique Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Dans la catégorie des logements collectifs, une baisse notable (-35 %) a été enregistrée au mois de janvier dernier. De plus, le niveau désaisonnalisé annualisé de janvier (18 500) est significativement inférieur à celui de décembre (32 100). Sur le plan régional, le portrait est semblable à celui des maisons individuelles : des baisses notables dans les RMR de Montréal, de Gatineau, de Québec et de Saguenay. Par ailleurs, le relevé de janvier indique que le recul est attribuable aux chantiers visant la copropriété et le marché locatif. « Bien qu’une certaine reprise de vitesse est envisageable, le rythme prévu pour 2012 sera bien inférieur à ce qu’il a été en 2011 », affirme M. Hughes.