Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle a reculé au Québec le mois dernier dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 3 488 habitations ont été commencées en octobre 2011, comparativement à 4 187 un an auparavant. Par ailleurs, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier du mois d’octobre (37 400) représente un rythme d’activité moins élevé que celui du mois de septembre (52 500).
Le résultat du mois d’octobre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 33 908, un chiffre inférieur de 7 % à celui des dix premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs ayant diminué légèrement (-2 %).
« Le rythme de l’activité dans le segment des logements collectifs est revenu à un niveau plus soutenable. Quant au cumul annuel, il est en ligne avec les prévisions que nous avons publiées il y a un an », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une baisse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 3 144, en octobre 2010, à 2 695, un an plus tard, ce qui représente un déclin de 14 %. En outre, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 27 600 en octobre, alors qu’il était de 41 300 le mois précédent. Le résultat du mois d’octobre s’explique, entre autre par le recul de l’activité dans le marché de Québec.
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 24 % en octobre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 11 200, en septembre, à 9 800, en octobre. Le résultat du mois d’octobre est attribuable à un recul notable de l’activité dans le marché de Montréal.
Le résultat du mois d’octobre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 33 908, un chiffre inférieur de 7 % à celui des dix premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs ayant diminué légèrement (-2 %).
« Le rythme de l’activité dans le segment des logements collectifs est revenu à un niveau plus soutenable. Quant au cumul annuel, il est en ligne avec les prévisions que nous avons publiées il y a un an », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une baisse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 3 144, en octobre 2010, à 2 695, un an plus tard, ce qui représente un déclin de 14 %. En outre, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 27 600 en octobre, alors qu’il était de 41 300 le mois précédent. Le résultat du mois d’octobre s’explique, entre autre par le recul de l’activité dans le marché de Québec.
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 24 % en octobre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 11 200, en septembre, à 9 800, en octobre. Le résultat du mois d’octobre est attribuable à un recul notable de l’activité dans le marché de Montréal.