Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle a augmenté au Québec le mois dernier dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 4 052 habitations ont été mises en chantier, comparativement à 3 699 un an auparavant. Le niveau désaisonnalisé annualisé de ce même mois (40 800) représente cependant un régime moins élevé que celui d’avril (46 900). « Cette baisse de régime des mises en chantier concorde avec nos prévisions. En effet, nous nous attendions à ce que la fin du devancement des achats de maisons se fasse sentier sur le marché du neuf », affirme Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
La hausse des mises en chantier constatée au Québec en mai est à l’image de la situation observée dans l’ensemble des régions métropolitaines de recensement (RMR) québécoises. Cela étant, des augmentations plus prononcées ont été signalées à Saguenay (+28 %) et à Trois-Rivières (plus de 100 %), tandis que la RMR de Québec a enregistré un recul de 8 % en regard de la même période l’an dernier.
À l’exception de la région Sherbrooke, la construction de maisons individuelles a progressé dans toutes les RMR québécoises, la plus forte croissance ayant eu lieu à Gatineau. Au total, les fondations de 1 160 maisons individuelles ont été coulées dans les centres de 100 000 habitants et plus, ce qui représente un accroissement de 10 %.
Du côté des habitations collectives, une augmentation de la construction a été enregistrée dans cinq des six RMR québécoises. À cet égard, les RMR de Saguenay, de Sherbrooke et de Trois-Rivières se distinguent par des mises en chantier bien plus nombreuses.
En ce qui concerne les grandes agglomérations de recensement (AR), l’enquête révèle que les mises en chantier y ont progressé de façon notable par rapport à la même période l’an passé (360 en 2010; 209 en 2009). Il s’agit d’un autre mois où autant les maisons individuelles (+40 %) que les logements collectifs (plus de 100 %) sont à l’origine de cette croissance.
La ventilation des résultats par type de mode d’occupation illustre également la baisse de régime. On observe, en outre, que la progression des mises en chantier a été beaucoup moins forte en mai dernier pour les unités destinées au marché de la propriété absolue (+18 %) et à celui de la copropriété (+7 %). La construction visant le marché locatif a même diminué pendant cette période (-13 %).
En date du 31 mai 2010, le cumul des mises en chantier dans les centres de 10 000 personnes et plus au Québec était en hausse de 31 % d’une année à l’autre (16 800 en 2010; 12 847 en 2009). Ce résultat traduit l’évolution des mises en chantier tant dans le segment des logements collectifs (+33 %) que dans celui des maisons individuelles (+27 %).
La hausse des mises en chantier constatée au Québec en mai est à l’image de la situation observée dans l’ensemble des régions métropolitaines de recensement (RMR) québécoises. Cela étant, des augmentations plus prononcées ont été signalées à Saguenay (+28 %) et à Trois-Rivières (plus de 100 %), tandis que la RMR de Québec a enregistré un recul de 8 % en regard de la même période l’an dernier.
À l’exception de la région Sherbrooke, la construction de maisons individuelles a progressé dans toutes les RMR québécoises, la plus forte croissance ayant eu lieu à Gatineau. Au total, les fondations de 1 160 maisons individuelles ont été coulées dans les centres de 100 000 habitants et plus, ce qui représente un accroissement de 10 %.
Du côté des habitations collectives, une augmentation de la construction a été enregistrée dans cinq des six RMR québécoises. À cet égard, les RMR de Saguenay, de Sherbrooke et de Trois-Rivières se distinguent par des mises en chantier bien plus nombreuses.
En ce qui concerne les grandes agglomérations de recensement (AR), l’enquête révèle que les mises en chantier y ont progressé de façon notable par rapport à la même période l’an passé (360 en 2010; 209 en 2009). Il s’agit d’un autre mois où autant les maisons individuelles (+40 %) que les logements collectifs (plus de 100 %) sont à l’origine de cette croissance.
La ventilation des résultats par type de mode d’occupation illustre également la baisse de régime. On observe, en outre, que la progression des mises en chantier a été beaucoup moins forte en mai dernier pour les unités destinées au marché de la propriété absolue (+18 %) et à celui de la copropriété (+7 %). La construction visant le marché locatif a même diminué pendant cette période (-13 %).
En date du 31 mai 2010, le cumul des mises en chantier dans les centres de 10 000 personnes et plus au Québec était en hausse de 31 % d’une année à l’autre (16 800 en 2010; 12 847 en 2009). Ce résultat traduit l’évolution des mises en chantier tant dans le segment des logements collectifs (+33 %) que dans celui des maisons individuelles (+27 %).