Selon les données du système MLS ® , la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que 5 513 transactions ont été conclues dans la région métropolitaine de Montréal en avril 2010, une hausse de 16 % par rapport à avril 2009.
« À la même période l’an dernier, le marché immobilier montréalais était toujours affecté par la récession, mais montrait des signes de rétablissement. Les ventes n’étaient en baisse que de 6 % par rapport à avril 2008 », indique Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « Avec une croissance des ventes de 16 %, le marché immobilier est donc très actif dans la région de Montréal, ce qui s’explique par des conditions économiques favorables. La confiance des consommateurs en l’économie est forte, la création d’emplois s’améliore dans la région et les taux hypothécaires sont toujours faibles. »
Toutes les catégories de propriété ont enregistré une hausse des ventes en avril 2010 comparativement à avril 2009. Les plex ont mené le bal avec une augmentation de 28 %. La copropriété et la maison unifamiliale ont plutôt enregistré une croissance des ventes de respectivement 18 % et 12 %.
Sur le plan géographique, les cinq grands secteurs de la région de Montréal ont réussi à dépasser le niveau des ventes enregistré en avril l’an dernier. Laval et l’Île de Montréal ont été les secteurs les plus dynamiques avec une hausse des ventes de respectivement 27 % et 21 %. Vaudreuil-Soulanges suit de près avec une croissance de 18 %, alors que le nombre de transactions conclues sur la Rive-Nord et la Rive-Sud a augmenté de respectivement 14 % et 4 %. « À la même période l’an dernier, le marché immobilier montréalais était toujours affecté par la récession, mais montrait des signes de rétablissement. Les ventes n’étaient en baisse que de 6 % par rapport à avril 2008 », indique Michel Beauséjour, FCA, chef de la direction de la CIGM. « Avec une croissance des ventes de 16 %, le marché immobilier est donc très actif dans la région de Montréal, ce qui s’explique par des conditions économiques favorables. La confiance des consommateurs en l’économie est forte, la création d’emplois s’améliore dans la région et les taux hypothécaires sont toujours faibles. »
Toutes les catégories de propriété ont enregistré une hausse des ventes en avril 2010 comparativement à avril 2009. Les plex ont mené le bal avec une augmentation de 28 %. La copropriété et la maison unifamiliale ont plutôt enregistré une croissance des ventes de respectivement 18 % et 12 %.
Au chapitre des prix, le prix médian d’une maison unifamiliale dans la région de Montréal est passé de 230 000 $ en avril 2009 à 250 000 $ en avril 2010, une hausse de 9 %. Le prix médian des copropriétés a connu une croissance de 10 % pour s’établir à 210 000 $, alors que celui des plex a augmenté de 9 %, se fixant à 375 000 $.
« Malgré cette hausse des prix, le marché immobilier à Montréal demeure le plus abordable comparativement à celui des autres grandes villes canadiennes. La croissance des prix s’explique par une diminution de l’offre de propriétés à vendre, alors qu’au 30 avril 2010, le nombre d’inscriptions en vigueur était en baisse de 20 % par rapport à la même date l’an dernier », précise Michel Beauséjour. « Cela étant dit, la bonne nouvelle pour les acheteurs est que les nouvelles inscriptions sont en hausse depuis quelques mois, par exemple, de 4 % en avril 2010. Les acheteurs ont donc encore du choix sur le marché. »