Faits saillants :
- Alors que la fête du Travail approche à grands pas, le tiers des Canadiens (31 %) affirment qu'ils sont loin d'avoir atteint leurs objectifs financiers personnels de 2011
- Un Canadien sur quatre (24 %) épargne moins de 1 000 $ par an
- Près de la moitié (47 %) des personnes interrogées ont indiqué que le fait de diminuer les repas au restaurant les aiderait à épargner davantage
- Même si 59 % des Canadiens se considèrent comme « économes » plutôt que « dépensiers » pour ce qui est de la façon de gérer leur argent, un nouveau sondage d'ING DIRECT publié aujourd'hui révèle qu'un Canadien sur deux est incapable d'épargner 25 $ de plus par semaine. Quarante et un pour cent (41 %) des répondants affirment que le fait d'épargner ce montant relativement minime par semaine les rendrait plus heureux et les aiderait à se rapprocher de leur objectif financier le plus important pour cette année, soit le remboursement de leur dette (25 %).
Alors que huit mois se sont déjà écoulés en 2011 - la conjoncture économique demeurant grandement incertaine - le Canadien moyen estime qu'il est plus difficile d'économiser maintenant qu'il y a seulement quelques années. Quarante-six pour cent (46 %) des Canadiens admettent qu'il est plus difficile d'épargner de l'argent aujourd'hui, tandis que 31 % avouent qu'ils sont loin d'avoir atteint leurs objectifs financiers de 2011, bien qu'ils caressent encore l'espoir d'y parvenir.
« Les pressions inflationnistes ont compliqué l'épargne. Pourtant, nombreux sont les Canadiens de la classe moyenne qui hésitent à modifier ne serait-ce qu'un peu leurs habitudes, ce qui les aiderait à épargner un peu d'argent chaque semaine et à leur procurer une meilleure situation financière », a expliqué Peter Aceto, président et chef de la direction d'ING DIRECT.
« Tout comme le fait de bien s'alimenter et de faire de l'exercice, modifier quelques habitudes au quotidien peut rapporter gros et rapprocher les gens de leurs importants objectifs d'épargne à long terme, notamment le remboursement de leur dette ou l'épargne-retraite. Plutôt que de s'efforcer de verser d'importants montants pour le remboursement de sa dette ou de changer radicalement son style de vie, il suffit de réduire certaines petites dépenses quotidiennes qui passent souvent inaperçues, mais qui s'additionnent au fil des mois. »
À la question à savoir comment elles pourraient épargner 25 $ de plus par semaine, les personnes interrogées ont répondu qu'elles réduiraient chaque jour de menues dépenses en sortant moins au restaurant (47 %), en magasinant moins (40 %), en préparant leur lunch et leur café à la maison (24 %), en utilisant des coupons-rabais (23 %) et en diminuant la facture d'épicerie (23 %).
Selon le sondage, l'épicerie constitue la dépense mensuelle la plus importante pour plusieurs Canadiens (32 %), hormis le loyer et les paiements hypothécaires. Quand on leur a demandé comment ils paieraient pour une dépense imprévue de plus de 1 000 $, plus du tiers (34 %) des répondants ont indiqué qu'ils utiliseraient leur marge de crédit ou leur carte de crédit pour régler cette dépense. Fait intéressant, seulement 11 % d'entre eux ont affirmé qu'ils puiseraient dans leurs fonds d'urgence.
Trente-six pour cent des Canadiens ont affirmé ne pas épargner d'argent annuellement et la moitié des Canadiens (54 %) ont indiqué qu'ils vivaient d'une paie à l'autre.
Épargner 25 $ par semaine et ses répercussions
Épargner 25 $ de plus par semaine correspond à plus de 1 300 $ par année, en plus de l'intérêt. Le fait d'avoir investi vingt-cinq dollars par semaine dans un compte d'épargne à taux élevés d'ING DIRECT, sans aucuns frais, à un taux moyen composé de 2,53 % sur les dix dernières années, aurait généré un rendement de près de 15 000 $ aujourd'hui.