Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle a augmenté au Québec le mois dernier dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 3 804 habitations ont été commencées en novembre 2011, comparativement à 3 541 un an auparavant. Par ailleurs, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier du mois de novembre (38 300) représente un rythme d’activité plus élevé que celui du mois d’octobre (37 100).
Le résultat du mois de novembre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 37 712, un chiffre inférieur de 6 % à celui des onze premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs étant demeurées relativement stable (-1 %).
« Nous prévoyons toujours que le rythme de l’activité dans le segment des logements collectifs diminuera en 2012. Quant au cumul annuel, il est en ligne avec les prévisions que nous avons publiées il y a un an », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une hausse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons
jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 2 569, en novembre 2010, à 2 943, un an plus tard, ce qui représente une augmentation de 15 %. Pendant ce temps, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 28 400 en novembre, alors qu’il était de 27 400 le mois précédent.
Le bilan du mois de novembre révèle des résultats contrastés : Une forte progression dans la région de Montréal (+61 %) et un recul notable du côté de la RMR de Québec (-53 %).
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 11 % en novembre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 9 700, en octobre, à 9 900, en novembre. Sur le plan des grandes régions urbaines, les bilans sont variables.
Le résultat du mois de novembre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 37 712, un chiffre inférieur de 6 % à celui des onze premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs étant demeurées relativement stable (-1 %).
« Nous prévoyons toujours que le rythme de l’activité dans le segment des logements collectifs diminuera en 2012. Quant au cumul annuel, il est en ligne avec les prévisions que nous avons publiées il y a un an », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une hausse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons
jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 2 569, en novembre 2010, à 2 943, un an plus tard, ce qui représente une augmentation de 15 %. Pendant ce temps, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 28 400 en novembre, alors qu’il était de 27 400 le mois précédent.
Le bilan du mois de novembre révèle des résultats contrastés : Une forte progression dans la région de Montréal (+61 %) et un recul notable du côté de la RMR de Québec (-53 %).
Les mises en chantier de maisons individuelles ont diminué de 11 % en novembre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 9 700, en octobre, à 9 900, en novembre. Sur le plan des grandes régions urbaines, les bilans sont variables.